dernière mise à jour 14/11/2000
après avoir bricolé l'électronique en amateur, avoir suivi dans "Le Haut Parleur" la saga de ceux qui se construisait leur petit micro à la maison, les systèmes d'exploitation où on se codait à la mimine, bit par bit, la définition des caractères d'affichages, j'ai fini par acquérir un vieil Apple IIe d'occasion.
Peu après, j'ai commencé à utiliser un Mac SE à l'hopital. Après avoir galéré sur un XT, c'était le bonheur.
Ayant eu l'occasion de faire de l'intelligence artificielle sur VAX (ce bon vieux SAM sous VMS... quelle horreur ! on passait environ 1 heure à compiler, faire les liens, entrer un exemple pour tester la modification d'une règle...) et de me battre avec le DOS, j'ai ensuite catégoriquement refusé d'utiliser un autre outil que le Mac.
mais pourquoi, enfin ?
ça n'a rien d'affectif, je suis essentiellement pragmatique ; mais ma femme l'aime pour son esthétique (plastique et fonctionnelle). Encore que le coté aspirateur traineau de l'iMac l'agace.
je l'avoue, je suis un sacré flemmard. Et puis j'aime l'efficacité.
Alors, l'ordinateur, il a interet à se faire oublier, car ce qui m'interesse, c'est d'en utiliser à fond toutes les possibilités sans me préoccuper de ce qui est sous le capot. Ceci dit, au bout d'un moment, on est bien obligé de le soulever, le capot, mais ce qui compte, c'est le rapport entre l'effort et le résultat.
Il y a des arguments positifs (le mac, c'est bien)
Il y a des arguments négatifs (le reste, c'est nul)
il y a les raisons qui expliquent qu'un mac soit meilleur
il y a les faits qui démontrent qu'un mac revient moins cher
il y a les raisons qui expliquent que les mauvais informaticiens detestent les macs. Ce sont presque les plus convaincantes : si ces gens là ne supportent pas que j'utilise un Mac, c'est une excellente raison pour que j'en ai un.
quelques détails sur nos machines
en voiture ! grace à William FOURCHE
pour les programmeurs ,fournie par Patrick POIRAUD
et nos petites annonces classées